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Syria’s law on ‘honor killings’ not severe enough – activists

SYRIA: Civil rights groups in Syria have backed an amendment to the law on so-called “honor crimes,” but said the punishment for such murders of women by their male relatives was still not severe enough. A new presidential decree earlier this month imposed a minimum sentence of two years in prison for men who kill their female relatives for engaging in extra-marital sex.

The law previously exempted honor crimes from prosecution because the man was “saving the family’s honor.”

The amendment abolished that legal justification for murder, said Amal Younes, a lawyer and a member of the Syrian Women’s Union, a leading non-governmental organization for the defense of women rights.

The new legislation also abolishes “suspicion” as a justification for killing, she said.

Nationality law faces fresh criticism Activists launch new campaign to allow women to pass on citizenship

BEIRUT: Rights activists gathered on Wednesday to remind the incoming Lebanese government of its obligation to formulate a nationality law that does not discriminate against women. At a conference called by The National Committee to Eliminate all Forms of Discrimination against Women, activists launched what they said would be the third and most sustained campaign to demand an amendment to the inequitable law.

Under the current legislation, written in 1925, only Lebanese men married to non-Lebanese are entitled to pass on their nationality to their wives and children. Viewed as foreigners by the authorities, the families of Lebanese women married to non-Lebanese must pay regular residency permit fees and often face difficulties finding work, affordable education and health care.

Prendre l’EDL par les cornes

Charbel Nahas et Marwan Iskandar s'accordent sur la nécessité d'entamer en premier lieu et dans les plus brefs délais un vaste chantier de réformes visant à résoudre le problème chronique de l'approvisionnement en courant au Liban, devenu « une urgence sociale et financière à laquelle il est devenu difficile d'échapper ».

Les visites sont de nouveau autorisées dans la prison de Saydnaya

Les autorités syriennes ont autorisé de nouveau les visites aux détenus de la prison de Saydnaya, près de Damas, interdites suite à une mutinerie en 2008, a indiqué hier une organisation de défense des droits de l'homme. Plus de 70 familles ont ainsi pu rendre visite à leurs proches, a déclaré à l'AFP Abdel Karim Rihaoui, président de la Ligue syrienne de défense des droits de l'homme.
M. Rihaoui a qualifié cette décision de « pas positif », mais a réclamé « la libération de plus de 20 détenus politiques qui sont emprisonnés à Saydnaya et qui ont purgé leurs peines ». Il a notamment fait état du militant Nizar Restnaoui qui « aurait dû être libéré le 18 avril 2009 ».

Exploiter l’excès de liquidités

Le prochain cabinet devrait se pencher sur les moyens de « profiter » de l'impact positif de la crise mondiale sur le Liban. En effet, en dépit de certaines répercussions néfastes, l'économie locale a paradoxalement bénéficié de la débâcle internationale, estiment les deux économistes, notamment en termes de flux de capitaux.

Les nombreux défis économiques du prochain gouvernement

Dossier - Réformes En dehors du grand cercle des tergiversations politiques et politiciennes qui retardent depuis plus d'un mois la formation du gouvernement, deux économistes évoquent dans un entretien avec « L'Orient-Le Jour » les multiples problèmes économiques auxquels devra s'atteler le prochain cabinet.

Réduire le service de la dette

Malgré le différend qui les oppose sur la question de la privatisation du secteur de l'énergie, Charbel Nahas et Marwan Iskandar sont d'accord sur la nécessité de procéder dans l'immédiat à une restructuration de l'Électricité du Liban (EDL), qu'elle soit privatisée ou pas dans un deuxième temps, pour pallier, par ailleurs, le problème de la dette publique. « Il existe en effet une relation de cause à effet entre les deux sujets. Le déficit chronique de l'EDL ne fait qu'enfoncer le clou de la dette publique », souligne Marwan Iskandar.

Résoudre un éventail de problèmes : la CNSS, la congestion routière, les carrières, etc.

En parallèle avec les grands thèmes de l'Électricité du Liban, du service de la dette et de la gestion des liquidités, d'autres questions, non moins urgentes, devraient également figurer en tête des priorités du prochain cabinet. Il s'agit notamment du dossier épineux de la Caisse nationale de la sécurité sociale (CNSS), plus particulièrement du nouveau projet de loi sur l'assurance vieillesse qui prévoit une réforme de l'ancien régime, mis en place en 1963.

Lancement de la troisième étape de la campagne « parce que ce sont mes enfants, ma nationalité est leur droit »

La Rencontre nationale pour l'élimination de la discrimination envers les femmes a tenu hier une conférence de presse sur le thème « Le cri de la femme libanaise : parce que ce sont mes enfants, ma nationalité est leur droit ». Lors de cette conférence de presse, a eu lieu le lancement de la troisième étape de la campagne pour l'obtention par la femme libanaise du droit de transmettre sa nationalité à ses enfants. L'événement s'est déroulé à l'ordre de la presse, en présence de nombreuses personnalités de la société civile et de Libanaises ayant épousé des étrangers. La coordinatrice de la Rencontre, Ezzat Marwa, a observé que « 18 000 femmes libanaises mariées à des étrangers vivent dans différentes régions du pays ».