L'Orient-Le Jour

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L’immense amertume des chrétiens du Liban-Sud

Alors que les villages qui les entourent se reconstruisent, les villages chrétiens de Bint Jbeil ne bénéficient quasiment pas de projets de développement. Faisant toujours l'objet de mandats d'amener à leur encontre, malgré les précédents interrogatoires et séjours en prison, les habitants de ces localités ne parviennent pas à refaire leur vie.

« En 1976, nous avons été livrés à nous-mêmes. Nous n'avions pas le choix. Si nous n'étions pas restés sur nos terres, les Israéliens auraient construit des kibboutzim dans la bande frontalière. Nous avons résisté - en restant sur notre terre - à l'occupation. » Le vice-président du conseil municipal de Aïn Ebel, Youssef Khreich, ne mâche pas ses mots. Et il n'est pas le seul à tenir ces propos.

La lente agonie des villages chrétiens de la bande frontalière

Un horrible sentiment d'amertume et une perte totale d'espoir. Neuf ans après le retrait israélien de la bande frontalière, et presque trois ans après la guerre entre le Hezbollah et Israël, les chrétiens des villages frontaliers du Liban-Sud se sentent toujours totalement abandonnés par l'État libanais.
Dans les quatre villages exclusivement chrétiens du caza de Bint Jbeil (Debl, Aïn Ebel, Rmeich et Kaouzah), chacun a une histoire triste à raconter. Dans ces villages majoritairement maronites noyés dans un océan de localités chiites, les habitants désabusés appréhendent l'avenir et se sentent des laissés-pour-compte, surtout quand ils comparent la situation de leurs villages à celles des villages voisins qui - relativement - grouillent de vie.

Le Liban, quatrième destinataire des investissements panarabes en 2008

nquête Les Émirats arabes unis ont été les premiers investisseurs au Liban en 2008, suivis par le Koweït, l'Arabie saoudite et le Qatar.

Dans son rapport annuel sur le climat des investissements dans les pays arabes en 2008, l'Institut de garantie des investissements panarabes a indiqué que les investissements arabes au Liban se sont élevés à 2 661 millions de dollars en 2008, soit un recul de 25,6 % de 3 343 millions de dollars en 2007, mais quand même en hausse de 17,4 % de 2 267 millions de dollars en 2006 et de 49,5 % de 1 780 millions de dollars en 2005.

Ankara souhaite devancer une « feuille de route » d’Öcalan

Turquie

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